Effets cardiovasculaires sur la thérapie hormonale chronique : Etude sur des athlètes féminines Olympiques

Schéma d'étude : Étude observationnelle rétrospective
Population d'étude : Athlètes engagées dans des disciplines mixtes (foot, volley, basket, gymnastique, tennis, waterpolo) et d'endurance (canyoning, courses, vélo, natation et ski) aux Jeux Olympiques d'été de Londres en 2012 jusqu'aux Jeux Olympiques d'Hiver 2022 Beijing
Design des études retenues : Pas de restriction
Critères d’inclusion des études :

• Articles étudiant les facteurs de risque cliniques et radiologiques de l’apparition d’un syndrome aigu compartimental (ACS) des fractures tibiales

Critères d’exclusion des études :

• Population pédiatrique

Au final, 380 femmes (âge moyen 25,5 +/-4,8 ans) exercées les sports inclus dans l’étude et 67 d’entre elles (18%) avaient une hormonothérapie chronique. L’échocardiographie montre un remodelage des caractéristiques ventriculaires gauches chez les athlètes sous hormonothérapie comparées aux contrôles (index de masse plus faible (86,2 vs. 92,5g.m², p<0,006), diamètre en fin de diastole plus petit (28,3 vs 29,4 mm/m², p<0,004, volume en fin de diastole plus petit (61,82 vs 67,09 ml/m², p<0,010). Aucun changement de la fonction systolique n’est observé. Une charge plus faible d’arythmies ventriculaires à l’exercice a été observée chez les athlètes en hormonothérapie (1,5% vs 8,6%, p=0,040) Normal text.

Un âge plus jeune et le sexe masculin sont des facteurs de risque indépendants importants dans les fractures du plateau tibial. Les fractures à haute énergie, polytraumatismes, fractures plus proximales et les fractures avec lésions squelettiques contiguës sont des facteurs de risque aggravants ; AO/OTA plus élevé et les types de classification de Schatzker, un déplacement accru du tibia par rapport au fémur, et l’augmentation de la largeur de la surface de l’articulation tibiale sont des facteurs de risque associés aux fractures du plateau tibial ; les types et sous-groupes de classification plus élevés de la Fondation AO et de l’Association de traumatologie orthopédique et des fractures plus proximales au sein de la diaphyse sont des facteurs de risque associés à la fracture de la diaphyse. Les fractures ouvertes n’empêchent pas l’apparition d’un ACS. L’augmentation de la longueur de fracture est le seul facteur suggérant un risque plus élevé de ACS dans les fractures du plateau tibial. La présence de chacun des facteurs indépendants peut avoir un effet cumulatif augmentant le risque d’apparition d’un ACS.